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Plus un centime pour Radio Courtoisie !

10 avril 2012

Testament de Serge de Beketch ou Plus un centime pour Radio Courtoisie !

 

Testament de Serge de Beketch

ou

Plus un centime pour Radio Courtoisie ! 

 

 

          J’ai été le co-créateur de Radio Courtoisie. Il me reste maintenant quelques mois à vivre et je rédige ce testament pour prévenir mes lecteurs du danger que représente Lesquen pour l’esprit même de Radio Courtoisie. De mon vivant, je n’ai pas pu m’attaquer directement à la bassesse et à la platitude avec lesquelles Lesquen l’usurpateur avait contaminé l’œuvre de Jean Ferré et de moi-même. Que ma position soit claire : au moment de la prise de pouvoir par Lesquen via ses gorilles, j’ai dû, déjà malade, me ranger, volens nolens, à ses côtés. Je suis un homme détruit par le système judiciaire, je dois vendre mon Libre Journal et c’est seulement grâce à Radio Courtoisie que je peux, à une fréquence hebdomadaire, en faire la réclame. Or, si Lesquen, carriériste républicain, véritable bulldozer de déshumanisation, me coupe cette source (et je vois bien ce type de pulsion dans ses yeux, car il est conscient du mal qu’il peut me faire), je souffrirais non seulement de la maladie, mais ma femme et moi nous retrouverions dehors. J’écris donc ce testament et je prie mes proches collaborateurs de bien vouloir l’afficher à plusieurs reprises sur Internet dès que Radio Courtoisie subira des destructions irréparables : il vaut mieux anéantir les parasites qui s’accrochent à une belle œuvre. Ces parasites pourrissent cette belle œuvre dans le but de pleinement s’en accaparer, la détournant de son but premier. Toute une clique de vermine lèche-cul a saisi les rênes de Radio Courtoisie. Lâches, pervers, hystériques, ils sont par essence manipulateurs et déshonorent le fondement même de la droite française. Je connais bien cette vermine car, durant des décennies, je l’ai côtoyée. J’en dresserai donc un bref portrait pour qu’ils soient à jamais anéantis. La première réaction de ces minables sera d’essayer de manipuler mes propres fils et ma chère femme contre ledit testament. Je demande donc à ma famille de laisser l’ordure lesquenesque se débattre dans son propre bran puisque toute cette clique l’avait mérité. Surtout ne pas intervenir ! Peu importe les efforts qu’ils déploieront pour vous manipuler. Car mon plus grand regret actuel de ne pas avoir suffisamment de santé et d’indépendance financière pour me retrouver auprès de Carbuccia et de Pichon pour gifler ce parvenu mal-lavé de Lesquen. Et j’éprouve en même temps un dégoût sans borne envers tous ces patrons d’émission qui, bien que jouissant d’une bonne santé et de certaines ressources, se rangent docilement, comme des robots soviétiques, derrière le voleur et l’usurpateur Lesquen et ses salopes de mains droites, Brassier et Paoli, lesquelles, pendant des années, sont bien restées à leur place de vieilles filles du service, mais qui, avec la nouvelles tyrannie, ont pris le pouvoir, telles des tricoteuses conscientes de leur malfaisance révolutionnaire.

Car Lesquen, justement, n’est pas autre chose qu’un parvenu tyrannique et minable. Comme tout tyran, il vide la fonction sacrée de son sens premier en en faisant une boutique ordurière. En effet, lorsque j’entends et vois Lesquen, je ne puis que m’imaginer un bouffon qui aurait grimpé sur le trône et aurait mis la couronne de son maître. Le pauvre bougre s’efforce de jouer un grand, en singeant les gestes et les mimiques du souverain, mais je n’y vois qu’un plouc, pitoyable au point de ne pas remarquer son ridicule et s’enfonçant dans son rôle sans pouvoir s’arrêter, jusqu’à la catastrophe. Les flatteurs et les dames de cour à deux balles sont là pour encourager ses grimaces et son imbécilité tonitruante. Car il a usurpé le journal de Jean Ferré. Il a volé sa musique, il essaie de tenir la conversation et de la diriger comme le défunt roi. Mais je n’y vois qu’un parvenu arrogant et tyrannique. Et souvent, j’ai envie d’éclater de rire lorsque ce singe mal dépouillé joue le grand seigneur en prenant la pose d’un grand penseur de droite.

Le plus détestable est que toute cette singerie est devenue l’essence même de la droite française. Je suis en effet au désespoir car je vois l’œuvre de ma vie et de mes proches partir en fumée, brûlée à petit feu par des petits bourgeois mesquins qui s’y chauffent autant qu’ils le peuvent. Une fois qu’elle aura totalement consumée la France, la vermine lesquenesque et ses semblables s’en iront plus loin. C’est pour cela que je demande à mes proches de faire paraître mon testament à l’approche d’une grande élection présidentielle, afin que les adversaires de cette droite de minables puissent utiliser mes propos pour parvenir au pouvoir : lorsqu’on ne peut plus rien sauver, il est préférable de précipiter le pays dans le chaos et la guerre civile desquels il pourra éventuellement renaître. Ce scénario me semble de loin plus sage que de laisser la France aux mains de mesquins rongés par l’avarice et de pervers politiques.

 

 

Mes proches, qu’on essayera bien sûr de manipuler pour qu’ils décrient ce testament en utilisant pour cela des mots comme « amour de la liberté » ou « lutte contre la pensée unique », doivent absolument savoir une chose : il n’y a plus aucune liberté sur Radio Courtoisie et la vermine qui se l’est appropriée pratique bel et bien une pensée unique. Ceux qui m’apprécient et qui associent mon nom à Radio Courtoisie doivent savoir que, si actuellement, moi, Serge de Beketch, je débarquais sur Radio Courtoisie avec toute ma verve et avec la fougue de la jeunesse, et que si j’y disais, en journaliste inconnu et en refusant de lécher les derrières crotteux de Lesquen et de ses harpies, ce que j’ai l’habitude de dire, on me foutrait à la porte, comme un perturbateur nuisant au bon fonctionnement de la boutique. Le mesquin Lesquen a en effet fait de Radio Courtoisie une boutique dans laquelle il attire tous ceux, même s’ils ne sont pas de droite (détruisant donc, une fois encore, le principe même de l’existence de la radio), qui pourraient lui servir dans sa conquête de la mairie de Versailles. Des centaines et des milliers d’auditeurs qui soutiennent de leurs deniers, depuis des années déjà, la création de Jean Ferré se voient maintenant poussés, au nom de ce Jean Ferré trahi, à financer les lobbies de Lesquen. Car, croyez-moi, jamais ce minable n’accèdera à la mairie de Versailles. Je m’adresse à tous les auditeurs de Radio Courtoisie : n’envoyez pas un centime à ce coureur de dots et d’héritages. Ne léguez rien à Radio Courtoisie. Lesquen a une fortune personnelle qu’il s’est constituée sur la dot et sur le dos de son épouse Maud ; qu’il la dépense donc pour sa chimérique mairie versaillaise !

Par ailleurs, Radio Courtoisie perd de plus en plus son caractère unique. Maintenant, sur Internet et même à la télévision, on lit et on voit de plus en plus d’interventions de bon sens. Ce qui naguère, sous Mitterrand, n’était entendu que sur Radio Courtoisie, on le voit maintenant dans la plupart des médias, même sur des chaînes publiques. Et nous le verrons de plus en plus ! Lesquen exige donc votre argent non pour des raisons valables, mais en manipulant les habitudes de personnes fortunées et souvent âgées. C’est un véritable escroc ! Ne lui donnez rien ! Les lettres d’« auditeurs » qu’il lit tous les lundis soirs sont bien sûr des impostures destinées à vous soutirer de l’argent !

Sur Radio Courtoisie règne une pensée unique, une vraie pensée unique ! Je suis monarchiste légitimiste. Et je me suis entouré, dans mon émission, de mes semblables. Sous Jean Ferré, il y avait une totale liberté d’expression pour le légitimisme. En effet, Ferré était un roi et non un tyran entouré de vermine. A sa mort, des vieilles femelles hystériques et perverses ont pris de pouvoir avec Lesquen. Dominique Paoli, prostituant la mémoire de Maurras, a fait de l’orléanisme son malheureux fonds de commerce. Cette pseudo historienne compilatrice, à l’origine d’un tas d’histoires vraies toutes plus sales les unes que les autres, exalte les minables orléanistes embourgeoisés et pratique en même temps un véritable terrorisme intellectuel : quiconque ne flatte pas l’orgueil de cette vieille perverse se fait chasser de l’antenne. Et la liste des personnes interdites d’antenne chez Radio Courtoisie, toutes de droite, est plus longue que mon bras.

Des patrons d’émission terrorisés bien que censés être libres – et c’est pour cela que l’on exige votre argent ! – courbent l’échine devant cette psychopathe aux lèvres pincées de laquelle ils reçoivent leurs ordres comme des petites filles et de petits garçons. C’est Paoli et Brassier qui terrorisent les patrons d’émission, semant la peur par la calomnie. Si j’étais plus jeune, je déploierai mon énergie à dégager cette bande lesquenesque de la radio. Malheureusement, je suis vieux et malade. Je suis obligé de la boucler. En revanche, tous ces Didier Rochard et Cahours – l’usurpateur de noblesse d’Aspry –, le protestant Appenzeller, qui pour ses amitiés maçonniques marierait une grenouille avec une vache, se couchent devant cette diffamatrice malfaisante de peur d’être chassés eux aussi de la radio par la calomnie. Paoli interdit toute évocation du légitimisme. Hamiche et le Marquis doivent se taire devant la Paoli, ce ténia dont le seul regret est de ne pas être une vraie vipère.

Tant que cette radio est gérée comme une filiale d’Agitprop, devenant peu à peu un kolkhoze polonais et non-fumeur implanté dans le XVIe arrondissement et présidé par un Lesquen, nouveau franc-mac’ qui recrée une loge à lui au Club de l’Horloge, ne lui donnez plus un centime !

 

Ce qui me peine encore, c’est la dérive vers l’antisémitisme racialiste qui pénètre la radio depuis le décès de Ferré, avec l’arrivée de la clique de Lesquen. J’ai longtemps travaillé avec Cohen et j’estime qu’un Juif qui aime la France est aussi Français qu’un Beketch. De plus en plus, les juifs sont poussés hors de Radio Courtoisie et l’on y accepte que quelques spécimens qui font à peine office de figurants. Lesquen fait de cette Radio Courtoisie une radio de parvenus aryens. Interviennent même à l’antenne des professeurs qui avaient réussi à me choquer, moi qui en aie pourtant vues et entendues de belles au Front et à Rivarol, par leur judéophobie. Par exemple, en ma présence, à la sortie de la messe à Saint-Nicolas du Chardonnet, une certaine Dominique Millet-Gérard de la Sorbonne avait traité ses collègues juifs de « chair à four ». Loin donc des vrais professeurs de la vraie droite française. Je me demande d’ailleurs comment cette Millet-Gérard fait pour enseigner à la Sorbonne : il faut qu’elle soit parfaitement schizophrène la pauvre. Cependant je sens, dès qu’elle peut, Millet lâchera notre radio – elle pue la peur, comme elle pue la haine. Et ce sont nos professeurs qui élèvent notre future élite !?! Laissez-moi rire ! La minable !

 

 

Je sais que les propos que je lègue ne plairont pas aux escrocs de la bande à Lesquen. Je sais que la gauche et ses médias utiliseront ce testament pour mettre à mal la droite. Et bien soit ! Car, au lieu d’entretenir financièrement la vermine perverse en leur donnant votre argent pour qu’ils reproduisent ce qui se dit déjà dans d’autres médias, vous devez refuser d’être des moutons soviétiques que l’on tond. Ne soyez pas les victimes ridicules de l’escroquerie de Lesquen !

 

 

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